Skip over navigation
l'Hôpital
Recherche
Soutenez-nous
Ottawa Hospital Research Institute
Accueil
English
Directions et cartes
Nous joindre
Au sujet de l’IRHO
Vision et orientations stratégiques
Message du PDG
L'équipe de direction
Rapports annuels
Installations
La gestion des données de recherche
Équité, diversité et inclusion
Notre recherche
Priorités, programmes et maladies
Profils de chercheurs
Réseaux de recherche nationaux
Publications scientifiques
Bourses et prix de recherche
Transfert de la technologie
Innovation responsable
Étudiants et stagiaires postdoctoraux
Nouvelles et activités
Nouvelles
Séminaires & Activités
Carrières
Pour les patients
Nouvelles et activités
Accueil
>
Nouvelles et activités
>
Nouvelles
Bookmark or Share
Option d'affichage
Option d'affichage
+
Augmentez
/
-
Diminuez
taille de police
Contraste élevé
Imprimante facile
Nouvelles
Séminaires & Activités
Nouvelles
Le Dr Douglas Gray cherche à savoir comment le cancer se développe
le 3 juin 2008
Comment le cancer se développe-t-il dans les poumons? Pouvons-nous trouver une façon d’interrompre sa progression?
« Dans le cas du cancer du poumon, les mutations dans les cellules s’accumulent avec le temps et mènent au cancer, explique le Dr Douglas Gray. C’est pourquoi nous diagnostiquons généralement le cancer du poumon chez les personnes plus âgées et presque jamais chez les enfants. » Le Dr Gray est titulaire de la chaire Joan Sealy en recherche sur le cancer du poumon de l’Université d’Ottawa et travaille à l’Institut de recherche de l’Hôpital d’Ottawa à titre de scientifique principal.
Environ 85 % des cas de cancer du poumon sont imputables au tabagisme. Même chez les non-fumeurs, le cancer du poumon est une cause importante de décès dus au cancer chez les adultes plus âgés. Le Dr Gray dit que les progrès dans le traitement et la prévention de la maladie dépendent de notre compréhension de la manière dont les erreurs dans l’ADN (ou mutations) s’accumulent dans les cellules cancéreuses et des raisons pour lesquelles elles ne sont pas réparées correctement.
Au début de sa carrière, le Dr Gray a découvert un des premiers gènes de la voie de l’ubiquitine humaine et s’est intéressé au rôle de l’ubiquitine dans la réparation de l’ADN. Plus récemment, il a étudié les effets de la manipulation des niveaux d’ubiquitine sur la formation et la croissance des cellules cancéreuses.
« Des niveaux élevés d’ubiquitine semblent encourager une forme de réparation d’ADN qui est prédisposée aux erreurs et nous désirons connaître la dépendance des cellules cancéreuses sur l’ubiquitine, mentionne-t-il. Si nous pouvions cibler cette voie avec des traitements, nous pourrions peut-être interrompre la croissance du cancer. »
Le Dr Gray a récemment reçu une subvention de la Société canadienne du cancer pour étudier le groupe de cellules nouvellement identifiées appelées cellules souches bronco-alvéolaires. « Ces cellules nous permettent de repartir à zéro, affirme le Dr Gray. On a décrit les cellules souches bronco-alvéolaires pour la première fois il y a seulement trois ans. Ces cellules sont un important point d’intérêt nouveau pour la recherche parce que nous pensons que c’est là que la plupart des cancers du poumon commencent. »
En appliquant le travail antérieur du Dr Gray sur l’ubiquitine à ces cellules, on pourrait un jour découvrir une façon d’interrompre le cancer du poumon à ses débuts.
***
Ce texte a été adapté d’un profil récent du Dr Gray présenté par la Société canadienne du cancer.
Pour en savoir plus, consultez :
le profil du Dr Gray dans le site de la Société canadienne du cancer
(comprend des questions-réponses)
le profil du Dr Gray à titre de scientifique de l’IRHO
le Programme de thérapeutique anticancéreuse de l’IRHO
.