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Une subvention de 120 000 $ pour aider à diminuer le stress cellulaire et prévenir les maladies neurodégénératives


le 27 mai 2015

Est-ce qu’une pile infinie de linge à plier vous stresserait? Chaque jour, nos cellules relèvent ce défi, si on remplace la lessive par les protéines. Lorsqu’il y a une trop grande agglutination de protéines dépliées, les cellules peuvent être tellement stressées qu’elles meurent. Ce processus survient dans de nombreuses maladies neurodégénératives, y compris la sclérose latérale amyotrophique, ou maladie de Lou Gehrig. Dernièrement, le Dr Richard Bergeron a obtenu une subvention de 120 000 $ du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada pour étudier ce processus, et plus particulièrement, le rôle d’une protéine appelée récepteur sigma-1, qui agit comme « chaperon » pour aider à plier les protéines. Le Dr Bergeron espère que l’activation de ce chaperon contribuera à diminuer en partie le stress cellulaire et à prévenir l’apparition ou la progression des maladies neurodégénératives.

L’Institut de recherche de l’Hôpital d’Ottawa


L’Institut de recherche de l’Hôpital d’Ottawa est l’établissement de recherche de L’Hôpital d’Ottawa; affilié à l’Université d’Ottawa, il entretient des liens étroits avec ses facultés de médecine et des sciences de la santé. L’Institut regroupe plus de 1 700 scientifiques, chercheurs cliniciens, étudiants diplômés, stagiaires postdoctoraux et employés de soutien qui se consacrent à la recherche pour améliorer la compréhension, la prévention, le diagnostic et le traitement des maladies. Appuyez nos efforts de recherche en faisant un don à La recherche au cœur de nos vies.

Personnes-ressource pour les médias


Lois Ross
Spécialiste principale en communications
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