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L’Ontario investit 18,5 M$ dans la recherche sur le cancer et les cellules souches à l’Institut de recherche de l’Hôpital d’Ottawa et à l’Université d’Ottawa


le 11 juin 2009

Le premier ministre de l’Ontario, Dalton McGuinty, a annoncé aujourd’hui un investissement de 18,5 M$ dans la recherche sur le cancer et les cellules souches à l’Institut de recherche de l’Hôpital d’Ottawa (IRHO), qui est affilié à l’Université d’Ottawa. Le premier ministre a fait cette annonce dans le cadre d’une conférence organisée à L’Hôpital d’Ottawa afin d’annoncer de nouveaux investissements totalisant 94 M$ dans l’ensemble de la province. C’est l’Institut ontarien de recherche sur le cancer (IORC) et le Fonds pour la recherche en Ontario (FRO) qui remettront les subventions.

Investissements dans les projets dirigés par l’IRHO :
  • 10 M$ pour le programme ORBiT (Ontario Regional Biotherapeutics), dirigé par le Dr John Bell
  • 4,2 M$ pour le projet de recherche visant à améliorer le traitement du cancer à l’aide de virus oncolytiques, dirigé par le Dr Michael McBurney
  • 3,8 M$ pour le projet Stem Cell Genomics, dirigé par le Dr Michael Rudnicki
  • 426 000 $ pour la banque de tissus biologiques de l’Étude sur la santé en Ontario, dirigée par le Dr Brent Zanke

« Le travail accompli par nos chercheurs est véritablement important, dit Dalton McGuinty, premier ministre de l'Ontario. Tout d'abord et le plus important, cet investissement consiste à prendre soin de la santé de nos êtres chers. Mais cela consiste également à améliorer la qualité de vie de tous les Ontariens et Ontariennes grâce aux possibilités économiques que fournissent la recherche et l'innovation. »

« L’Institut de recherche de l’Hôpital d’Ottawa joue un rôle prépondérant dans la mise au point d’un certain nombre de traitements novateurs, y compris ceux misant sur les virus oncolytiques pour vaincre le cancer et ceux misant sur les cellules souches pour réparer les dommages causés par la sclérose en plaques ou encore lors d’une crise cardiaque ou d’une perte de vision, indique le Dr Duncan Stewart, PDG et directeur scientifique de l’IRHO, vice-président de la Recherche à L’Hôpital d’Ottawa et professeur à la Faculté de médecine de l’Université d’Ottawa. Grâce aux nouveaux fonds octroyés par le gouvernement de l’Ontario, nous pourrons grandement accélérer les travaux et ainsi mettre plus rapidement les traitements à la disposition des patients pour les aider à se rétablir à la suite d’une maladie dévastatrice. »

« Notre capacité de cerner les questions de santé en émergence, de créer de nouveaux traitements contre le cancer et d’appliquer des méthodes de prévention uniques dépend de la recherche, dit Allan Rock, recteur et vice-chancelier de l’Université d’Ottawa. Le gouvernement de l’Ontario comprend que l’Université d’Ottawa a besoin des investissements en recherche pour maintenir sa place parmi les chefs de file de la recherche universitaire au Canada. »

« La recherche est la clé du succès pour concrétiser l’objectif de L’Hôpital d’Ottawa d’offrir des soins de grande qualité à long terme aux résidants d’Ottawa et de l’Est de l’Ontario, indique le Dr Jack Kitts, PDG de L’Hôpital d’Ottawa. J’aimerais remercier le gouvernement de l’Ontario et le premier ministre, Dalton McGuinty, en particulier du solide soutien accordé aux hôpitaux et aux instituts de recherche en milieu hospitalier en Ontario. »

Renseignements sur les projets dirigés par l’IRHO

1. Programme ORBiT (Ontario Regional Biotherapeutics) - (10 M$ du gouvernement de l’Ontario par l’intermédiaire de l’IORC)

Le terme biothérapeutique, relativement nouveau, désigne les traitements qui mettent à profit des matériaux biologiques comme des cellules, des gènes et des virus. Les traitements biologiques sont beaucoup plus complexes que les médicaments pharmaceutiques traditionnels, en plus d’être potentiellement beaucoup plus puissants. Ils sont conçus en laboratoire de façon à cibler des tissus malades de diverses façons, sans toucher les tissus sains. Comme les cellules et les virus peuvent en outre se « reproduire » à l’intérieur du corps, une petite dose peut devenir d’elle-même une plus forte dose.

Le programme ORBiT a vu le jour en 2006. L’objectif était de mettre au point toute une gamme d’agents biothérapeutiques capables de traiter le cancer. Dirigé par le Dr John Bell à partir de l’IRHO et de l’Université d’Ottawa, le programme regroupe 14 scientifiques et cliniciens d’Ottawa, d’Hamilton et de Toronto. Les 10 M$ remis par l’IORC serviront à financer la recherche fondamentale sur la biothérapeutique et six essais cliniques menés auprès de patients. Un de ces essais, pour lequel le recrutement de patients vient tout juste de commencer au Centre de cancérologie de L’Hôpital d’Ottawa, porte sur un virus oncolytique conçu pour attaquer et détruire des tumeurs. Ce virus, appelé JX-594, est basé sur le vaccin contre la variole. Une étude précédente sur le même virus (publiée dans Lancet Oncology) a d’ailleurs donné des résultats très prometteurs : 10 des 14 patients atteints d’un cancer en phase terminale ont réagi au traitement. D’autres essais cliniques misent sur les cellules du système immunitaire pour détruire les cellules cancéreuses et prévenir leur réapparition. D’autres encore visent à examiner différentes combinaisons de cellules et de virus, parfois accompagnées d’une chirurgie.

Les chercheurs du programme ORBiT prévoient utiliser les résultats de ces essais cliniques pour améliorer les traitements dans le laboratoire, créant ainsi un cycle de découvertes et d’essais qui permettra d’accélérer les travaux et d’offrir les nouveaux traitements plus rapidement aux patients. La recherche en laboratoire, la fabrication et les essais cliniques auront lieu dans plusieurs centres hospitaliers universitaires, à savoir L’Hôpital d’Ottawa, le Centre des sciences de la santé d’Hamilton et l’Hôpital Princess Margaret.

La mise au point des nouveaux traitements et les essais subséquents pourront se faire plus rapidement grâce au partenariat avec Jennerex Biotherapeutics, une entreprise lancée en 2006 par les Drs John Bell et Harry Atkins de l’IRHO, le Dr David Stojdl du CHEO et le Dr David Kirn de San Francisco avec le soutien financier d’investisseurs ontariens. Il est crucial de mobiliser des partenaires du secteur privé local dès le début afin que les Ontariens puissent bénéficier des avantages pour la santé et l’économie.

« La recherche sur le cancer a fait de grandes percées ces dernières décennies, affirme le Dr Bell, mais les patients reçoivent toujours des traitements rudimentaires qui provoquent des effets secondaires importants. Les agents biothérapeutiques sont davantage ciblés et potentiellement plus puissants. Je suis très enthousiaste à l’idée de réaliser les prochains essais cliniques. Ils pourraient aider certaines personnes. Je veux cependant souligner que nous en sommes toujours aux premières étapes de la recherche. Nous essayons de créer une gamme de nouveaux traitements biologiques contre le cancer plutôt qu’une seule arme magique et il faut beaucoup de travail pour y parvenir. J’aimerais remercier tous les généreux donateurs et organismes qui ont soutenu notre travail au fil des ans. »

Les personnes intéressées à participer aux essais cliniques doivent en informer leur oncologue médical. Vous trouverez les critères d’admissibilité à l’essai sur le JX-594 mené au Centre de cancérologie de L’Hôpital d’Ottawa à l’adresse clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT00625456 (en anglais seulement).

Principaux chercheurs participant au programme ORBiT :
  • Dr John Bell, scientifique principal, Programme de thérapeutique anticancéreuse, IRHO; professeur, Faculté de médecine, Université d’Ottawa
  • Dr Harry Atkins, scientifique, Programme de thérapeutique anticancéreuse, IRHO; médecin, Programme de greffe de sang et de moelle osseuse, L’Hôpital d’Ottawa; professeur adjoint, Faculté de médecine, Université d’Ottawa
  • Dre Rebecca Auer, scientifique adjointe, Programme de thérapeutique anticancéreuse, IRHO; médecin, Chirurgie oncologique, L’Hôpital d’Ottawa; professeure adjointe, Faculté de médecine, Université d’Ottawa
  • Dre Laura Chow, chercheuse clinicienne, Programme de thérapeutique anticancéreuse, IRHO; médecin, Oncologie médicale, L’Hôpital d’Ottawa; professeure adjointe, Faculté de médecine, Université d’Ottawa
  • Dr David Stojdl, scientifique, Centre de recherche sur l’apoptose, Centre hospitalier pour enfants de l’est de l’Ontario; professeur adjoint, Faculté de médecine, Université d’Ottawa
  • Dr Jonathan Bramson, professeur agrégé, Département de pathologie et de médecine moléculaire, Université McMaster
  • Dr Brian Lichty, professeur adjoint, Département de pathologie et de médecine moléculaire, Université McMaster
  • Dr Yonghong Wan, professeur agrégé, Département de pathologie et de médecine moléculaire, Université McMaster
  • Dr Ronan Foley, professeur agrégé, Département de pathologie et de médecine moléculaire, Université McMaster; directeur, laboratoire de cellules souches, chef, service de diagnostic de l’hématologie maligne, Centre des sciences de la santé d’Hamilton
  • Dr Armand Keating, chaire Epstein en thérapie cellulaire et greffe, professeur de médecine, directeur, Division d’hématologie, Université de Toronto; directeur, programme de thérapie cellulaire, Hôpital Princess Margaret
    >li>Dre Li Zhang, professeure, Départements de médecine de laboratoire et de pathobiologie et d’immunologie, Université de Toronto; scientifique principale, Toronto General Research Institute, University Health Network
  • Dre Pam Ohashi, codirectrice, Campbell Family Institute for Breast Cancer Research; directrice, programme de thérapie immunitaire, scientifique principale, Division of Signaling Biology, Ontario Cancer Institute / Hôpital Princess Margaret, University Health Network; professeure, Départements de biophysique médicale et d’immunologie, Université de Toronto
  • Dr Jeffrey Medin, scientifique principal, Ontario Cancer Institute et Toronto General Research Institute; professeur, Département de biophysique médicale et institut des sciences médicales, Université de Toronto
  • Dre Andrea McCart, scientifique affiliée, Toronto General Research Institute; professeure adjointe, Département de chirurgie, Université de Toronto; chirurgienne oncologue, Hôpital Mount Sinai

2. Projet de recherche visant à améliorer le traitement du cancer à l’aide de virus oncolytiques (4,2 M$ du gouvernement de l’Ontario par l’intermédiaire du FRO)

Le Dr Michael McBurney, directeur du Programme de thérapeutique anticancéreuse de l’IRHO et professeur à la Faculté de médecine de l’Université d’Ottawa, a reçu une subvention de 4,2 M$ du FRO pour améliorer le traitement du cancer à l’aide de virus oncolytiques. La subvention appuiera les travaux réalisés à l’IRHO par neuf scientifiques et cliniciens. Ensemble, les chercheurs mettront à l’essai une variété de virus oncolytiques dans différents modèles de tumeurs en laboratoire dans l’objectif de déterminer quel virus est le plus efficace pour chaque type de cancer, quel est le mode d’administration idéal du virus et s’il est avantageux de combiner les virus oncolytiques à d’autres traitements. L’objectif ultime du projet est d’améliorer le traitement à base de virus oncolytiques et de l’adapter à chaque cancer. Par exemple, le groupe espère qu’il sera un jour possible de prélever un échantillon de la tumeur d’un patient pour ensuite faire des essais en laboratoire afin de déterminer quel virus est le plus susceptible de détruire la tumeur avant de traiter le patient avec ce virus. Le projet est complémentaire au programme ORBiT, dirigé par le Dr John Bell.

« Au Centre de thérapeutique anticancéreuse de l’IRHO, explique le Dr McBurney, nous avons particulièrement bien réussi à amener les scientifiques fondamentalistes et les cliniciens à collaborer pour mettre au point de nouveaux traitements et répondre à d’importantes questions cliniques. Le programme de virus oncolytiques est un excellent exemple de cet esprit de collaboration. Les nouveaux fonds octroyés par le gouvernement de l’Ontario nous permettront d’élargir la recherche et d’évaluer le potentiel d’une variété de virus oncolytiques pour traiter différents types de cancer et ainsi, nous l’espérons, de créer des traitements plus ciblés et personnalisés. »

Chercheurs participant au projet :
  • Dr Michael McBurney, directeur, Programme de thérapeutique anticancéreuse, IRHO; professeur, Faculté de médecine, Université d’Ottawa
  • Dr John Bell, scientifique principal, Programme de thérapeutique anticancéreuse, IRHO; professeur, Faculté de médecine, Université d’Ottawa
  • Dr Harry Atkins, scientifique, Programme de thérapeutique anticancéreuse, IRHO; médecin, Programme de greffe de sang et de moelle osseuse, L’Hôpital d’Ottawa; professeur adjoint, Faculté de médecine, Université d’Ottawa
  • Dre Rebecca Auer, scientifique adjointe, Programme de thérapeutique anticancéreuse, IRHO; médecin, Chirurgie oncologique, L’Hôpital d’Ottawa; professeure adjointe, Faculté de médecine, Université d’Ottawa
  • Dre Johanne Weberpals, chercheuse adjointe, Programme de thérapeutique anticancéreuse, IRHO; professeure adjointe, Faculté de médecine, Université d’Ottawa
  • Dr Jim Dimitroulakos, scientifique, Programme de thérapeutique anticancéreuse, IRHO; professeur adjoint, Faculté de médecine, Université d’Ottawa
  • Dre Barbara Vanderhyden, scientifique principale, Programme de thérapeutique anticancéreuse, IRHO; professeure, Faculté de médecine, Université d’Ottawa
  • Dr Ian Lorimer, scientifique principal, Programme de thérapeutique anticancéreuse, IRHO; professeur agrégé, Faculté de médecine, Université d’Ottawa
  • Dr Glenwood Goss, chercheur clinicien, Programme de thérapeutique anticancéreuse, IRHO; médecin, Oncologie médicale, L’Hôpital d’Ottawa; professeur, Faculté de médecine, Université d’Ottawa
  • Dre Laura Chow, chercheuse clinicienne, Programme de thérapeutique anticancéreuse, IRHO; médecin, Oncologie médicale, L’Hôpital d’Ottawa; professeure adjointe, Faculté de médecine, Université d’Ottawa

Les partenaires du secteur privé sont Jennerex Biotherapeutics, Matrix Advanced Solutions et Atreus Pharmaceutical.

3. Projet Stem Cell Genomics (3,8 M$ du gouvernement de l’Ontario par l’intermédiaire du FRO)

Le Dr Michael Rudnicki, directeur du Centre de recherche sur les cellules souches Sprott de l’IRHO et professeur à la Faculté de médecine de l’Université d’Ottawa, a reçu une subvention de 3,8 M$ du FRO. La subvention permettra de soutenir le rôle prépondérant des chercheurs ontariens au sein du Consortium international du régulome (CIR), un projet de génomique de troisième génération qui permet à 38 établissements dans 12 pays de collaborer pour découvrir de quelle façon les cellules souches sont régulées au niveau génétique. Il est essentiel de réaliser ce projet pour savoir comment contrôler les cellules souches et ainsi mettre à profit leur capacité de régénérer et de réparer des organes et des tissus endommagés. Les chercheurs de l’IRHO s’efforcent déjà de concevoir des traitements à base de cellules souches pour réparer les dommages causés par la sclérose en plaques ou lors d’une crise cardiaque, d’un AVC, d’une lésion à la moelle épinière ou d’une perte de vision. Le projet du CIR fournira des données essentielles qui pourraient nous aider à améliorer les traitements actuels et à créer de nouveaux traitements encore plus puissants.

Le Dr Michael Rudnicki est directeur du CIR et directeur scientifique du Réseau de cellules souches canadien. Invitrogen est un important partenaire du secteur privé.

« Le Canada est reconnu dans le monde entier, et plus particulièrement au Consortium international du régulome, pour ses travaux novateurs en matière de recherche sur les cellules souches, déclare le Dr Rudnicki. Le gouvernement de l’Ontario a beaucoup soutenu les efforts déployés à ce chapitre. La subvention aidera les chercheurs ontariens à jouer un rôle de premier plan dans la mise au point de la prochaine génération de traitements à base de cellules souches en vue de contrer des maladies dévastatrices. »

Chercheurs participant au projet :
  • Dr Michael Rudnicki, scientifique principal et directeur, Centre de recherche sur les cellules souches Sprott, IRHO; professeur, Faculté de médecine, Université d’Ottawa; directeur, Consortium international du régulome; directeur scientifique, Réseau de cellules souches canadien
  • Dr Theodore Perkins, scientifique, Centre de recherche sur les cellules souches Sprott, IRHO
  • Dr Mads Kaern, professeur adjoint, Faculté de medicine et Faculté des sciences, Université d’Ottawa
  • Dre Marjorie Brand, scientifique, Centre de recherche sur les cellules souches Sprott, IRHO; professeure adjointe, Faculté de medicine et Faculté des sciences, Université d’Ottawa
  • Dr Lynn Megeney, scientifique principal, Centre de recherche sur les cellules souches Sprott, IRHO; professeur agrégé, Faculté de médecine, Université d’Ottawa
  • Dr Lisheng Wang, professeur adjoint, Faculté de médecine, Université d’Ottawa

4. Étude sur la santé en Ontario (426 000 $ du gouvernement de l’Ontario par l’intermédiaire de l’IORC)

L’Étude sur la santé en Ontario est une importante composante de la biobanque nationale canadienne, dont l’objectif est de recueillir des échantillons biologiques et des renseignements sur la santé et les maladies pendant les 50 prochaines années auprès de 300 000 Canadiens pour ensuite établir une corrélation avec les renseignements biologiques, génétiques, sociaux et environnementaux de chaque personne. L’étude nous aidera à mieux comprendre les causes du cancer et d’autres maladies courantes. Ces nouveaux fonds du gouvernement de l’Ontario aideront à construire des installations pour accumuler les échantillons biologiques. Cette partie de l’étude est dirigée par le Dr Brent Zanke, scientifique à l’IRHO, oncologue à L’Hôpital d’Ottawa et professeur agrégé à la Faculté de médecine de l’Université d’Ottawa. Les partenaires clés sont l’Institut ontarien de recherche sur le cancer, Action cancer Ontario et le Partenariat canadien contre le cancer.

« La biobanque sera une ressource des plus précieuses pour les chercheurs de l’ensemble du Canada, affirme le Dr Zanke. Elle nous permettra de déterminer quels facteurs contribuent le plus à l’apparition d’un cancer et d’autres maladies plus tard au cours de la vie. Elle pourrait en outre inspirer des chercheurs à adopter de nouvelles méthodes de prévention et de traitement. »

Au sujet de l’Institut de recherche de l’Hôpital d’Ottawa
L’Institut de recherche de l’Hôpital d’Ottawa (IRHO) est l’établissement de recherche de L’Hôpital d’Ottawa. Il est affilié à l’Université d’Ottawa et entretient des liens étroits avec ses facultés de médecine et des sciences de la santé. L’IRHO regroupe plus de 1 300 scientifiques, chercheurs cliniciens, étudiants diplômés, stagiaires postdoctoraux et employés de soutien qui se consacrent à la recherche pour améliorer la compréhension, la prévention, le diagnostic et le traitement des maladies (www.irho.ca).

Au sujet de l’Université d’Ottawa
La réputation de l’Université d’Ottawa comme chef de file en recherche et en développement de connaissances interdisciplinaires attire les chercheurs les plus prometteurs du Canada et du monde entier (www.uottawa.ca).

Renseignements
Jennifer Paterson
Directrice, Communications et relations publiques
Institut de recherche de l’Hôpital d’Ottawa
613-798-5555, poste 19691
613-614-5253 (cellulaire)
jpaterson@ohri.ca

Julie Tanguay
Agente des relations avec les médias
Université d’Ottawa
613-562-5800 poste 3137
613-724-8290 (cellulaire)
jtanguay@uOttawa.ca